Sarkozy : les requins, les carpes, les carpettes et les harengs-saurs...

Publié le par La rédaction

DSC01883 [1600x1200].JPGPar Robert Spieler

Délégué général de la

Nouvelle Droite Populaire

 

Comment les Français ont-ils pu élire un tel personnage ? Certes, ils bénéficient  de circonstances atténuantes. Confrontés au dilemme cornélien Sarkozy/Royal, ils avaient le choix entre la bouffonitude et la viditude.

Quelles sont les étapes majeures de l’ère Sarkozy ?

- Le Fouquet’s, le soir de son élection, avec le Tout-Paris faisandé, suivi de la fête musicale de haut niveau où Enrico Macias (Enrico Macias !) couinait « Ah qu’elles sont jolies, les filles de Sarkozy ».

- La pantalonnade des amours de Sarkozy : Cecilia, puis Carla… Je ne veux pas paraître moralisateur, mais jamais une famille française de qualité, fût-elle des plus modestes, n’accepterait Cecilia ou Carla comme belle-fille ou belle-sœur.

- Et puis, les montres Rolex, les voyages ultra-luxueux, entouré d’une cour  de requins métissés de carpes, de carpettes et de harengs-saurs.

- La nomination avortée de son fils Jean, qui a certes le mérite d’être en deuxième année de droit, à l’Etablissement public d’aménagement de la Défense (Epad), l’annulation de la taxe carbone par le Conseil Constitutionnel, l’échec  tonitruant du sommet de Copenhague et de la vente de centrales nucléaires à Abou Dhabi, en attendant celui de la vente des avions Rafale au Brésil…

- Et enfin ce débat  tout à fait inconsistant sur l’identité française, et récemment, l’affaire Proglio : Sarkozy trouvait  légitime qu’un patron du CAC40 puisse occuper la présidence simultanée de deux entreprises, l’une privée, l’autre publique, en percevant un salaire annuel cumulé de deux millions d’euros. Scandale, y compris dans sa propre majorité. Et reculade, une de plus.

Comment la France en est-elle arrivée à un tel degré d’abaissement ? Mais comment résister au drill, à l’asservissement  du politiquement correct, à la pression des lobbys, au lavage de cerveaux des télés réalités, à la bêtise moralisatrice ambiante, à la répression judicaire que le Système fait peser sur les Résistants ? Nous vivons dans une dictature d’autant plus insupportable qu’elle se pare des oripeaux de la démocratie.

L’insigne médiocrité de la classe politique, sans exception, est désespérante. Mais, nous le savons, le désespoir est une sottise….

Rassemblement, Résistance et Reconquête !

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article